Jemand fragte mich vor Kurzem: “Könnte die Auferstehung Jesu nicht vorgetäuscht sein?“ Diese Frage stellen sich nicht nur Atheisten sondern auch gläubige Juden und gläubige Moslime. Letztere verehren zwar den Messias als Propheten, glauben aber nicht an seine Auferstehung aus dem Tode. Der fromme Jude hingegen glaubt, dass der Messias am Ende aller Tage als Retter erscheinen wird, doch dieses Ereignis werde noch kommen, so meinen sie. Auch sei Jesus der Messias der Juden nicht gewesen. Moslime schließen sich weitgehend dieser Meinung an. Immerhin halten sie Jesus für einen Propheten Gottes, der im NT allerdings falsch dargestellt worden sei. Daher liest man auf dem ehemaligen Tempelplatz an der AL Achsa Moschee die Worte: „Gott hat keinen Sohn“. Wie ist das denn nun mit den Glaubenssätzen der drei Weltreligionen Judentum, Christentum und Islam?

Quelqu’un m’a récemment demandé : „La résurrection de Jésus ne pourrait-t-elle pas être feinte ?“ Cette question est posée non seulement par des athées, mais aussi par des musulmans et des juifs fervents. Ces derniers, tout en adorant le Messie qui apparaîtra à leur peuple comme Sauveur à la fin des temps, croient que cet événement est encore à venir. Les musulmans adhèrent largement à cette opinion. Après tout, ils considèrent que Jésus est un prophète de Dieu, mais déformé dans le NT. C’est pourquoi sur l’ancien parvis du temple de la mosquée AL Achsa, on peut lire les mots : „Dieu n’a pas de fils“. Comment cela se passe-t-il maintenant avec les croyances des trois religions mondiales que sont le judaïsme, le christianisme et l’islam ?

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Glaubenssätze sind unbeweisbar

Führen wir dazu einen indirekten Beweis. Nehmen wir also an, das Gegenteil sei richtig. Es gelte also der Satz: „Glaubenssätze sind beweisbar!“ In diesem Falle müsste ein jeder vernünftige Mensch den Glauben an Jesu Christi annehmen. Dann wäre die „Errettung durch Glauben“ nur jenen vorbehalten, die logisch denken können. Diese Leute müssten dann nach den Aussagen der Heiligen Schrift „durch Glauben errettet“ werden, auch dann, wenn sie ohne Reue sündigen. – Wie wäre es andererseits mit den Menschen, welche den Beweis nicht nachvollziehen könnten? Sie könnten dann nicht „durch Glauben“ errettet werden, selbst wenn sie einen frommen Lebenswandel führen würden.

Les croyances sont indémontrables

Faisons une preuve indirecte de cela. Supposons que le contraire soit vrai. La phrase s’applique donc : „Les croyances sont prouvables !“ Dans ce cas, toute personne raisonnable devrait accepter la foi en Jésus-Christ. Le „salut par la foi“ serait alors réservé à ceux qui peuvent penser logiquement. Ces personnes devraient alors être „sauvées par la foi“ selon les déclarations de l’Écriture, même si elles pèchent sans se repentir. – D’un autre côté, qu’en est-il des personnes qui ne pouvaient pas comprendre les preuves ? Ils ne pouvaient donc pas être sauvés „par la foi“, même s’ils menaient une vie pieuse.

Geistliche Pubertät

Kinder vertrauen ihren Eltern. Dieses sog Urvertrauen ist ihnen förmlich in die Wiege gelegt worden. Sie erfahren, dass ihre Eltern es gut mit ihnen meinen. Daher gehorchen sie ihnen selbst dann, wenn sie den Sinn des Befehles nicht einsehen sollten. Kinder haben im Allgemeinen auch keine Probleme mit dem christlichen Glauben. „Papa hat das Haus gebaut und der himmlische Vater die Welt“, so denken sie oftmals, wenn sie zuvor gut christlich erzogen wurden. Selbst im Trotzalter lassen sie sich noch durch die Eltern leiten, wenn diese ihnen ins Gewissen reden oder einfach schweigend aber behaarlich sie in die Schranken verweisen. – Die Pubertätszeit jedoch bringt echte Probleme mit sich. Während dieser Zeit zweifeln die Kinder mitunter Alles an!
Einem „Zustand“, vergleichbar mit dem des Trotzalters oder dem der Pubertät, können auch Erwachsene verfallen, allerdings nur auf dem Gebiete des religiösen Glaubens. Dazu ein Beispiel: Einer meiner Mathematikfachleiter benahm sich mir gegenüber wie ein Atheist und nervte mich durch seinen Widerstand gegen meinen christlichen Glauben. Schließlich platzte mir der Kragen. „Sie befinden sich in geistlicher Pubertät“, brach es aus mir hervor. Der Fachleiter fand meine Bemerkung witzig – Gott sei Dank! Ansonsten hätte ich unter ihm leiden müssen. So blieb er mir freundlich gesonnen.
In diesem Zusammenhang hilft uns ein Wort Jesu weiter, das wir im Evangelium des Matthäus lesen.
Math 18,2-3: „In jener Stunde traten die Jünger zu Jesus und sprachen: Wer ist denn der Größte im Reiche der Himmel? Und als Jesus ein Kind herzu gerufen hatte, stellte er es in ihre Mitte und sprach: Wahrlich ich sage euch, wenn ihr nicht umkehret und werdet wie die Kindlein, so werdet ihr nicht in das Reich der Himmel eingehen.“ Nach Christi Worten hilft uns das kritische Hinterfragen wenig, welches wir in Glaubensfragen gerne an den Tag legen.

La puberté spirituelle

Les enfants font confiance à leurs parents. Cette confiance dite fondamentale a été formellement placée dans leur berceau. Ils apprennent que leurs parents leur veulent du bien. Par conséquent, ils leur obéissent même s’ils ne voient pas le sens du commandement. En outre, les enfants n’ont généralement aucun problème avec la foi chrétienne. „Papa a construit la maison et Père Céleste a construit le monde“, pensent-ils souvent, s’ils ont eu auparavant une bonne éducation chrétienne. Même à l’âge de la défiance, ils sont encore guidés par leurs parents lorsqu’ils parlent à leur conscience ou les remettent simplement à leur place, silencieusement mais hirsutement. – La période de la puberté, cependant, apporte de vrais problèmes. Pendant cette période, les enfants doutent parfois de tout !
Un „état“ comparable à celui de l’âge de la défiance ou de la puberté peut également frapper les adultes, mais uniquement dans le domaine de la croyance religieuse. Voici un exemple : un de mes professeurs de mathématiques se comportait envers moi comme un athée et m’agaçait par sa résistance contre ma foi chrétienne. Finalement, ma mâchoire s’est décrochée. „Tu es en pleine adolescence spirituelle“, ai-je lancé. Le responsable du sujet a trouvé ma remarque amusante – Dieu merci ! Sinon, j’aurais eu à souffrir sous ses ordres. Il est donc resté amical avec moi.
Dans ce contexte, nous sommes aidés par une parole de Jésus que nous lisons dans l’Évangile de Matthieu. Math 18:2-3 : „A cette heure-là, les disciples s’approchèrent de Jésus et dirent : Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux ? Et lorsque Jésus eut appelé à lui un petit enfant, il le plaça au milieu d’eux, et dit : „Je vous le dis en vérité, si vous ne vous repentez et ne devenez comme des petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.“ Selon les paroles du Christ, le questionnement critique dont nous aimons faire preuve en matière de foi ne nous est d’aucune utilité.

Persönliche Erfahrungen

Da meine Mutter eine gläubige Frau war, unterwies sie mich schon sehr früh im christlichen Glauben. Sie schickte mich zu „Tante Enne“ in die Sonntagschule. Ich hörte die biblischen Geschichten des AT und des NT. Dort wurde berichtet, wie Gott zu den Propheten geredet hatte. In meiner kindlichen Naivität bat ich Gott , er möge auch zu mir reden. Das tat er auch eines Abends, als ich beim benachbarten Bauern die Milch holen wollte. Zum Zeitpunkt meiner Ankunft hatte die Bäuerin noch nicht die Kühe gemolken, so dass ich noch warten musste. Einer der Bauernsöhne war gerade damit beschäftigt, mit seiner Heugabel Heu vom Dachboden durch eine Luke auf die Deele zu schieben. Ich stellte mich mitten unter das herunterrieselnde Heu und genoss es, wie dieses mir vor meiner Brust, hinter meinem Rücken und seitlich neben mir herunterglitt. Plötzlich hörte ich eine laute Stimme sagen: „Gehe dort weg!“ Ich gehorchte und trat drei Schritte zurück. Gerade war ich stehen geblieben, da rief der Bauernsohn mir zu: „Walfried, meine Heugabel ist mir aus der Hand gerutscht. Reichst Du sie mir einmal hoch.“ Ich hatte kurz zuvor gesehen, wie diese mit einigen Heu-Stengeln direkt vor meiner Nase herunterrauschte. Die mittlere Zinke hätte mich wahrscheinlich am Kopf getroffen, wenn ich zuvor nicht zurückgewichen wäre. Um mich herum war niemand, der mich hätte zuvor warnen können. Der Herr hatte zu mir geredet. Von da an wusste ich: “ Kinder , die ihn lieb haben, die lässt er nicht ohne Schutz“. Menschen meiner Umgebung haben mir diese Geschichte nicht geglaubt. Doch meine Mutter nahm sie mir als Tatsache ab!

Geschichten: Meine Memoiren

Expérience personnelle

Comme ma mère était une femme pieuse, elle m’a instruit très tôt dans la foi chrétienne. Elle m’a envoyé chez „Tante Enne“ à l’école du dimanche. J’ai entendu les histoires bibliques de l’AT et du NT. Là, il a été rapporté comment Dieu avait parlé aux prophètes. Dans ma naïveté d’enfant, j’ai demandé à Dieu de me parler à moi aussi. Il l’a fait un soir où je suis allé chercher du lait chez le fermier voisin. À mon arrivée, la femme du fermier n’avait pas encore trait les vaches, j’ai donc dû attendre. L’un des fils du fermier était occupé à pousser le foin du sol du vallon par une trappe sur le vallon avec sa fourche. Je me suis tenu au milieu du foin qui tombait et j’ai apprécié qu’il glisse devant ma poitrine, derrière mon dos et sur le côté de moi. Soudain, j’ai entendu une voix forte dirant: „Éloigne-toi de là !“ J’ai obéi et j’ai fait trois pas en arrière. Au moment où je m’étais arrêté, le fils du fermier m’a appelé : „Walfried, ma fourche m’a glissé des mains. Vous me le remettrez une fois ?“ Je venais de le voir se précipiter avec une botte de foin juste devant moi. La dent du milieu m’aurait probablement frappé à la tête si je n’avais pas reculé avant. Il n’y avait personne autour de moi qui aurait pu me prévenir à l’avance. Le Seigneur m’avait parlé. Dès lors, j’ai su : „Il ne laissera pas les enfants qui l’aiment sans protection“. Les gens autour de moi ne croyaient pas à cette histoire. Mais ma mère l’a accepté comme un fait!

05.12.2020 Kk

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